dimanche 21 juin 2009

A mort le sionisme et les sionistes.


Avraham Burg, ancien président du parlement israélien "Nous sommes déjà morts


Etat juif, c’est explosif, c’est de la dynamite." Ces propos sont ceux de l’ex-président de la Knesset de 1999 à 2003 et ex-président de l’agence juive, Avraham Burg.


Avraham Burg, ancien président du parlement israélien, ne tire plus la sonnette d’alarme. Il estime que c’est trop tard pour Israël : il compare dans le quotidien Haaretz l’état de xénophobie de la société israélienne à celui de l’Allemagne lors de la montée du nazisme. Et il conclut "Nous sommes déjà morts".M. Burg n’a jamais mâché ses mots, mais, dans un entretien publié vendredi 8 juin dans le quotidien Haaretz, ce politicien reconverti dans les affaires va jusqu’à qualifier Israël, pays qu’il a quitté pour vivre en France, de "ghetto sioniste". Il considère qu’il est temps de dénoncer la théorie de Théodor Herzl, estimant qu’après la création d’Israël, le sionisme aurait dû être aboli. Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense d’un Etat juif démocratique, il indique : "C’est confortable, c’est sympa, c’est de la guimauve, c’est rétro. Cela donne un sentiment de plénitude, mais c’est de la nitroglycérine."Auteur d’un livre, Vaincre Hitler, cet ex-pilier du mouvement pacifiste "La Paix maintenant " envisage de remettre en cause la loi du retour qui permet à tout juif de venir vivre en Israël. Il estime que cette loi est "le miroir de l’image d’Hitler" et "je ne veux pas qu’Hitler définisse mon identité".Ce militant du dialogue avec les Palestiniens qualifie la société israélienne de "paranoïaque", pense que "la clôture de séparation procède de cette paranoïa" et s’insurge contre "la xénophobie". Il constate que "de nombreuses lignes rouges ont été franchies au cours des dernières années". Il y a, selon lui, "de bonnes chances que la prochaine Knesset interdise les relations sexuelles avec les Arabes. Nous sommes déjà morts mais nous ne le savons pas encore. Tout cela ne marche plus".M. Burg compare l’état de la société israélienne à l’encontre des Arabes à celui de l’Allemagne lors de la montée du nazisme, mettant en avant "le caractère central du militarisme dans notre identité. La place des officiers de réserve dans la société. Le nombre d’Israéliens armés dans les rues. Où va cet essaim de gens armés ? Ils disent publiquement "les Arabes dehors !".Se définissant comme un citoyen du monde, il qualifie l’occupation de la Cisjordanie "d’Anschluss" et prédit "une explosion sans fin". Et de conclure : "La réalité israélienne n’est pas excitante, mais les gens ne veulent pas l’admettre. Nous sommes au pied du mur. Demandez à vos amis s’ils sont sûrs que leurs enfants vont vivre ici. Au maximum, 50 % diront oui. Autrement dit, l’élite israélienne est déjà partie, et sans élite, il n’y a pas de nation."Michel Bôle-Richard Article paru dans Le Monde l’édition du 10.06.07.Source : CAPJPO-EuroPalestine

Les folles se dechainent dans les rue de la ville Sainte de Jerusalem


L’Extrême droite israélienne : "Obama, un antisémite qui déteste les Juifs"


Parce que le président Obama a osé (d'aprés les israéliens) demander le gel des colonies, parce qu’il a insisté sur la solution de deux Etats au conflit palestino-israélienne, il doit subir la colère des Israéliens qui n’hésitent pas à se lancer dans une campagne médiatique contre lui , le traîtant de tous les noms.Une campagne coordonnée avec des partisans israéliens résidant aux Etats-Unis, et dont certains de ces aspects ont publiés : au menu, des posters et affiches contre Obama, l'organisation de manifestations devant la Maison Blanche, ou devant les résidences de représentants américains en « Israël ». Sur l’une des affiches, on peut distinguer un Obama vêtu du keffieh palestinienne, et sur laquelle est inscrit "Barack Hussein Obama un antisémite qui déteste les Juifs." Une autre montre le Président Obama en compagne du président iranien, avec pour fond une bombe atomique qui explose, sur laquelle on peut lire « Oui, on peut » ( le slogan d’Obama"Yes we can") sous entendu la destruction de l’entité sioniste. La campagne est organisée par le mouvement appelé "le Front national juif." Selon Itamar Ben-Gvir, l'un des leaders de l'extrême droite, «Il est clair pour tous que Barack Hussein Obama est mauvais pour les juifs, depuis son entrée à la Maison Blanche nous avons perçu un radical changement dans la façon de traiter avec Israël, et nous assistons comment aujourd'hui, il exerce la pression pour réduire le pays, celui qui exige le démantèlement des colonies est un hypocrite, qu’ils sortent de Washington occupée et ensuite parlons de Jérusalem. " Il a ajouté que la campagne est destinée à transmettre ce message à tout le monde."

Déclaration de L’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah en réponse aux dernières attitudes de sarkohendans lesquelles il a parlé de souffrance des juifs



Le président français, quand il parle de souffrances des Israéliens
L’alignement de la France aux côtés des Etats-Unis et son soutien à Israël menacent son rôle dans la région
Fadlallah : Les Occidentaux et la France devraient se repentir de leurs fautes à l’encontre des Juifs et des Palestiniens
Son Eminence, l’Autorité religieuse, l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah, a publié un communiqué dans lequelle il a répondu aux dernières déclarations du président français dans lesquelles il a parlé de souffrances des Israéliens. Voici le texte de ce communiqué :

La tâche dans le cadre de laquelle s’active le président français dans ses tentatives de subordonner la France à la politique extérieure américaine dans la région arabe et islamique, tâche qui le porte à adopter le point de vue israélien dans le conflit avec les Palestiniens, représente une atteinte aux grandes causes du monde arabe et islamique, ainsi qu’une tentative de déformer les vérités de l’histoire et d’orienter l’avenir dans l’intérêt d’Israël et du sionisme mondial.
La France de Sarkozy qui refuse de présenter des excuses aux Algériens au sujet des massacres perpétrés, dans leur pays, par les colonialistes français, est très semblable à Israël qui ne s’est pas contenté de l’injustice faite au peuple palestinien lorsqu’il l’a chassé hors de ses terres, mais qui continue de perpétrer des massacres à répétition qui sont devenus une conduite quotidienne de tous les responsables israéliens sans distinction… Israël n’aurait pas poursuivi sa politique meurtrière en réprimant, en affamant les Palestiniens et en les assiégeant, les privant ainsi des carburant, de la nourriture et des médicaments, sans parler de l’extension des colonies de peuplement, sans la complaisance des administrations occidentales et, en premier lieu, l’administration américaine.
L’administration du président Sarkozy qui cherche, ces jours-ci, à rattraper le train que prenait l’ex-premier ministre britannique, Tony Blair, tout en sachant que les Français n’ont pas de véritables intérêts à le faire, surtout que l’alignement à l’administration du président Bush dont le soleil décline sur tous les plans, coure de grands risques qui pourraient se refléter négativement sur le rôle français dans la totalité de la région arabe et islamique. Nous insistons sur le fait que la conduite de Sarkozy et de son administration ne représente pas les véritables tendances du peuple français.
Nous disons au président français qui parle de la nécessité de reconnaître le droit des israéliens qui, selon lui, ont longuement souffert, de vivre en paix… S’il s’agit pour lui d’une souffrance des Juifs, les Arabes et les Musulmans n’en sont pas responsables. Les Arabes et les Musulmans ont plutôt protégé les Juifs dans tous leurs pays, surtout sur le plan économique et culturel, de sorte que le Juif ne s’est jamais senti réprimé ou méprisé. La souffrance des Juifs c’est l’Occident qui en est responsable, surtout que la mentalité occidentale chrétienne leur faisait porter la responsabilité de la crucifixion de Jésus Christ (p), crucifixion qui, d’après le Noble Coran, n’est pas reconnue par les Musulmans. De même l’holocauste dont-ils parlent était l’œuvre des Occidentaux, en Allemagne et ailleurs…
Il valait mieux aux Occidentaux, les Français compris, de se repentir de cette sauvagerie psychologique et comportementale envers les Juifs en les accueillant chez eux comme citoyens en Europe, et non pas en Palestine dont le peuple a été déraciné de sa terre et chassé avec le soutien des administrations occidentales au mépris de toute logique et de tout droit.
Il est du devoir de Sarkozy qui se présente comme un soldat et combattant pour le compte d’Israël au sujet du dossier nucléaire pacifique iranien, de ne pas être plus royaliste que le roi, et de ne pas faire abstraction, lui et son administration, des vérités affirmées, à ce propos, par le dernier rapport des services de renseignement américains. Il est de son devoir aussi de ne pas oublier le rôle français dans la constitution de l’arsenal nucléaire militaire israélien et d’agir, dans l’intérêt de la France et dans l’intérêt des peuples, dans le sens du démantèlement de cet arsenal afin d’annihiler les menaces qu’il constitue pour les peuples de la région et pour la paix mondiale. Cela exige de la part de la France de se repentir de ses fautes passées et de contribuer au désarmement nucléaire de la totalité du Moyen-orient.
Quant à l’Etat palestinien qui est devenu un sujet de manipulation politique dans le discours américain tout comme dans le discours français, nous demandons au président français quel sera la forme de cet Etat, quelles seront ses frontières et quel sera son avenir sous la politique de colonisation menée par Israël qui n’a laissé aux Palestiniens aucune chance de créer un Etat viable ? Pour toutes ces raisons, nous conseillons le président français de faire un effort pratique dans le sens de l’unité au lieu d’adresser aux Palestiniens des propos brumeux qui ne servent à rien.
Tout en ayant le sentiment que la France de Sarkozy ne trouvera dans la région une place importante en raison de son glissement pro israélien sur le plan pratique, nous demandons aux Arabes et aux Musulmans d’assumer leurs responsabilités à l’égard de la cause palestinienne, sinon le temple arabe et islamique s’effondra au dessus de tous. Les trônes de ceux qui en sont responsables ne seront point épargnés.
Le Bureau d’Information de son Eminence,
l’Autorité religieuse,
l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah.
Beyrouth,
Le 29-11-1428 H / 09-12-2007 Ap. J. C.



Mottaki regrette l’ingérence de la France et de la Grande-Bretagne en Iran


Le Ministre des Affaires étrangères iranien a accusé, la Grande-Bretagne de jouer un rôle perturbateur dans les événements en Iran, notant que les forces d'occupation britanniques en Irak forment des agents spéciaux pour mener des attentats-suicide en Iran. Au cours d’une conférence de presse, Mottaki a déclaré « que la période récente a connu un afflux d'arrivées de la Grande-Bretagne vers l'Iran pour influencer de façon réelle le cours de la situation dans la république islamique » . Mottaki a demandé à la Grande-Bretagne d’oublier l’expression «l’empire d’où le soleil ne s’absente jamais», rappelant que « ce sont les Britanniques qui ont planté l'entité israélienne dans la région, qui ont joué un rôle clé dans l'invasion américaine de l'Irak et dans la production de la drogue en Afghanistan ». Mottaki a mis en garde la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne de mettre en péril leurs intérêts en s’ingérant dans les affaires internes de l'Iran: « nous regrettons les positions de certains Etats qui ne sont pas dignes de leur peuple, dont la France, qui a soutenu les séparatistes et les conspirateurs contre la révolution islamique et qui avait soutenu Saddam Hussein dans sa guerre contre l’Iran ». Et d’ajouter: «Les Occidentaux essaient d'imposer leurs propres conditions, et leur propre représentation de la démocratie dans d’autres pays », soulignant « que les révolutions de velours doivent être analysées par des experts pour démasquer ceux qui sont derrière tout cela », ajoutant « qu'il existe des pays dans le monde qui s’ils ne réalisent pas leurs objectifs recourent à la liquidation ». Le ministre des Affaires étrangères iranien a ajouté que « les personnes qui ont acquis leur indépendance au prix de grands sacrifices ne peuvent en aucun cas se résigner aux manigances de l’Occident », soulignant que « le peuple iranien ne peut pas renoncer facilement à ses exploits révolutionnaires et à sa souveraineté religieuse ».

samedi 20 juin 2009

... la souffrance ... c'est un privilège qui n'est pas donné à tout le monde


Jack Lang qui dit que le génocide arménien n'a pas existé...cela émeut après combien d'années? Mais de quoi s'émeut on? C'est bien connu, les personnes d'origine juive ont le droit de dire que le massacre des autres populations n'a pas existé, que les esclavagistes étaient des héros, que le Christ n'a pas existé blessant ainsi des milliards de personnes... Mais ces personnes ont droit de cité, de vivre, de continuer à faire de la politique, a occupé l'espace public... Liberté d'expression oblige. Mais lorsque vous avez le malheur de dire une chose contre l'État d'Israël ou la shoah, il vous faut absolument mourir. Parce que c'est bien connu, seuls les juifs ont le droit à liberté d'expression. Seuls les juifs ont droit de remettre en cause certains faits de l'histoire. seuls la souffrance des juifs est souffrance. 50 millions de morts à la seconde guerre mondiale et seuls les 6 millions de juifs tués sont importants pour l'histoire...les autres n'étaient que des animaux. Des noirs tenus en esclavage durant des siècles mais ce n'était que des sous-hommes. Des arméniens massacrés, ce n'était qu'un fait entre guillemets. Des milliers d'enfants, d'hommes et de femmes tués durant l'offensive à Gaza mais c'était comme s'il ne s'était rien passé... Tant que certains juifs considéreront que la souffrance des autres peuples n'est pas souffrance, d'autres continueront de les mépriser et de nier leur souffrance! Ils nient bien la souffrance des autres, l'histoire des autres!

Israël utilise une bête comme nouvelle arme contre le Hezbollah


Israël utilise une bête comme nouvelle arme contre le Hezbollah C'est un régiment de 700 grosses bêtes que dispose désormais l'armée israélienne dans ses bases à la frontières du Liban.Israël découvre une nouvelle arme pour combattre le parti chiite de Hezbollah. Il s'agit d'un animal dressé pour vivre dans le sud du Liban afin de faire face aux combattants de Hezbollah

JAMAIS ON VOUS OUBLIERA


Les autorités judéo sionistes ont arrêté depuis 1967 plus de 700 000 Palestiniens, et depuis la Seconde Intifada , plus de 50 000 Palestiniens.
Au 20 juillet 2006, plus de 9850 prisonniers sont répartis dans plus de 30 prisons et centres de détention et d'arrestation, dont 720 prisonniers de la bande de Gaza, les autres étant de la Cisjordanie, de Jerusalem-Est, et de pays arabes, dont 553 détenus avant l'Intifada al-Aqsa

Gaza: étonnement d’une demande de la Croix-Rouge concernant Chalit


Le ministère palestinien des captifs basé à Gaza, s'est dit étonné de l’appel de la Croix-Rouge internationale, qui a exhorté le Hamas à permettre au soldat israélien Gilad Chalit de contacter sa famille, au moment où elle ne fait rien pour les milliers de détenus palestiniens privés de toute visite. Le ministère a aussi condamné le fait que les institutions internationales demandent des nouvelles d’un seul captif israélien détenu par la résistance palestinienne, au moment où elles ne posent pas des questions sur les conditions dans lesquelles vivent plus de onze mille captifs palestiniens. Pis encore, une responsable de l’organisation s'est dite satisfaite des services médicaux offerts dans les prisons israéliennes. Elle a certainement oublié qu’il y a plus de 1600 Palestiniens malades dans ces prisons et que 95% d’entre eux sont tombés malades après avoir été incarcérés dans ces geôles. Le ministère, a en outre, appelé la communauté internationale et ses institutions à stopper leur discours de deux poids deux mesures.


Chavez vante l'unité avec la Russie


Le président vénézuélien Hugo Chavez a vanté hier l'"unité" de son pays avec la Russie et le Bélarus, dans une lettre adressée à ses homologues de ces deux pays. "Seule l'unité entre nous nous permettra d'ouvrir la voie de l'harmonie, bien au-delà de l'hégémonie de l'impérialisme et du capitalisme qui ont détruit la moitié du monde", écrit le président Chavez dans sa lettre dont s'est fait l'écho la télévision publique vénézuélienne. Cette lettre devait être transmise par le vice-président vénézuélien et ministre de la Défense, Ramon Carrizalez, qui a quitté vendredi Caracas pour une visite en Russie et au Bélarus. Moscou et Caracas ont signé entre 2005 et 2007 douze contrats d'armement d'un montant de 4,4 milliards de dollars. La Russie a notamment vendu au Venezuela 24 avions de chasse Soukhoï, 50 hélicoptères de combat et 100.000 fusils d'assaut Kalachnikov. Des manœuvres militaires conjointes entre les marines de Russie et du Venezuela ont été menées en novembre en mer des Caraïbes. Fin mai, Chavez a eu un entretien téléphonique avec le Premier ministre russe Vladimir Poutine sur la coopération militaire et technique.Depuis mars 2008, le Bélarus développe un système de défense antiaérien pour le Venezuela.

shoah ça rapporte des sous,c'est pas cher et ça peut rapporter gros


L'Organisme de restitution des avoirs des victimes de la Shoah entend déposer plainte, la semaine prochaine,contre la banque Leumi. Cette action judiciaire menée contre le second plus grand établissement financier d'Israël fera suite à des années de négociations infructueuses pour récupérer les avoirs déposés par les victimes de la Shoah avant la Seconde guerre mondiale.Selon Meital Noy, le porte-parole de l'organisation, la plainte enregistrée devant la cour de Tel-Aviv concerne 305 millions de shekels déposés dans plus de 3.500 comptes de la banque Leumi.En signe de bonne volonté, l'établissement avait donné, il y a deux ans, 20 millions de shekels à l'Organisme des restitutions, même si la direction de Leumi a toujours certifié ne posséder aucun compte appartenant aux victimes de la Shoah.Une enquête interne, menée à la demande de la banque par un ancien membre de la Cour suprême, a conclu que Leumi n'est pas obligé légalement de rendre les avoirs déposés par les personnes mortes durant la Shoah.La banque Leumi a réagi violemment à l'action de l'Organisme des restitutions. Un porte-parole a déclaré mercredi que la plainte imminente était "sans aucun fondement" et qu'elle n'avait uniquement pour but de couvrir les erreurs de l'organisation tout en gaspillant l'argent public.De son côté, l'Organisme des restitutions a qualifié de "blague" le geste de Leumi d'accorder 20 millions de shekels, une peccadille comparée aux 300 millions réclamés par l'organisme.

Scandale d'Etat : Sarkosy et le lobby israelien a nouveau lié a des operations terroristes apres l'Espagne, l'Algerie, le Pakistan

Une déclaration d’un avocat et c’est l’emballement médiatique. Amateur de dossiers explosifs (l’affaire Borrel notamment, bientôt l’affaire Boulin) Me Olivier Morice ne s’est pas privé de provoquer un léger séisme vendredi 19 juin.
L’avocat des victimes françaises de l’attentat de Karachi (Pakistan) en 2002 a tout bonnement dévoilé que la bombe qui a tué 11 ingénieurs français de la DCN ne serait qu’une résultante d’une bisbille politico-financière franco-française. « La piste cruellement la plus crédible, c’est que l’attentat a eu lieu car la France n’avait pas versé les commissions sur lesquelles elle s’était engagée, dans le cadre de la vente de sous-marins ».
Et, un peu plus précis, d’expliquer. « Ces commissions ont été arrêtées à l’arrivée de Jacques Chirac à la présidence de la République en 1995 afin que des rétrocommissions ne soient pas versées », sous-entendu aux équipes Balladur.
Bref, une guerre de gros sous chiraco-balladurienne remontant aux années 90 serait responsable de la mort de onze ingénieurs français dans un attentat ! Explosif ! Et encore à établir.La guerre des intermédiaires
Un brin plus avérées en revanche sont les manoeuvres que Jacques Chirac, tout juste arrivé à l’Elysée, a mis en oeuvre pour récupérer les dites commissions des mains des intermédiaires balladuriens. Et cela n’a rien d’une « fable grotesque », comme l’affirme ce vendredi 19 juin Nicolas Sarkozy au sujet des liens éventuels avec les attentats de Karachi.
Notamment sur la vente de trois sous-marins d’attaque à propulsion classique Agosta 90 B, construits par la DCN (direction des chantiers navals devenue depuis DCNS) commandés par le Pakistan le 21 septembre 1994. Ce marché, d’un montant de 840 millions d’euros, a été conclu sous l’égide de François Léotard, ministre de la Défense d’Edouard Balladur. Principal destinataire des commissions, un intermédiaire fort proche des réseaux balladuriens de l’époque et bien connu des fidèles de Bakchich, Ziad Takkiedine.
L’homme d’affaires libanais est dûment mandaté par la DCNI en 1994, la filiale commerciale de la DCN, comme en attestent les documents ci-joints. Avec à la clé un joli pactole de 33 millions d’euros, soit 4 % du montant total du contrat. A charge pour lui de rémunérer les officiels pakistanais qui ont facilité l’obtention du contrat, voire à renvoyer un peu l’ascenseur à ses amis balladuriens…
Le contrat de consultant à Takieddine signé par DCNI pour les sous-marins vendus au PakistanOr, la Chiraquie est persuadée que ces gros contrats et leurs commissions ont servi à remplir les poches balladuriennes, et à financer leur campagne. Ce qu’aucune enquête judiciaire n’a jamais pu prouver. Qu’importe, il s’agit de bloquer le versement du magot. Histoire de se rassurer et empêcher la constitution d’un hypothétique trésor de guerre du camp Balladuro-sarkoziste.
Sitôt Chirac arrivé à l’Elysée, l’ami Ziad, l’homme d’affaires libanais mandaté par la DCNI, fera aussi l’objet d’un tout autre contrat. La DCNI, toujours elle, mandate Control Risk Management, une société de sécurité privée pour le secouer.
Il faut, en effet, l’empêcher de toucher le reste de la commission sur les sous-marins pakistanais.Control Risk Management, alors dirigée par un certain Frédéric Bauer, facturera (voire notre document ci-dessous) 120 600 francs, soit 18 400 euros.
La facture adressée par Control Risk Management à DCNI pour avoir gentiment impressionné les intermédiaires. Objectif de la Chiraquie, faire en sorte de « rapatrier » les commissions.
L’objectif est d’exiger – gentiment, bien sûr – que Takieddine accepte de signer immédiatement un avenant, l’engageant à renoncer, à partir de la fin août 1996, à son contrat de consultant. On le vire, mais il aura finalement perçu 88% des 33 millions d’euros dus, ce qui fait quand même un joli pactole… A peu près 28 millions d’euros
Et la purge des commissions ne touche pas que le contrat Pakistanais, mais tous les contrats « mammouths », comme disent les spécialistes, signés sous l’égide du gouvernement Balladur avant la présidentielle de 1995 : un avenant au marché des frégates de Taiwan, des sous-marins au Pakistan, mais surtout d’autres frégates vendues à l’Arabie saoudite (Sawari). En tout 3,9 milliards d’euros de matériels.
Des commissions et un grand nettoyage
Une étude publiée en 2003 par le service historique de la Défense, émanation très sérieuse du ministère de la Défense, l’a même souligné : « Notons que sur l’initiative de Jacques Chirac quelques amendements sont apportés au contrat Sawari II. Le nouveau chef de l’Etat français obtient, en particulier, la diminution du montant des “commissions” versées en pareil cas aux “intermédiaires” ». Tout y est, mais la fameuse étude a depuis été retirée du site du ministère.
Le grand nettoyage commence donc. Des investigations sont menées par la DGSE sur des proches de François Léotard, dont on imagine qu’ils ont pu être informés en interne sur les intermédiaires et leurs contacts en Arabie saoudite. La Chiraquie triomphante remet en cause à la fois le patron de la Sofresa, la société rassemblant l’Etat et les industriels pour traiter avec l’Arabie saoudite, et les intermédiaires choisis par les balladuriens. De la Sofresa est viré Jacques Douffiagues, son président, grand copain de Léotard, pour laisser la place à Michel Mazens, un homme dans la ligne du nouveau pouvoir, considéré comme proche du RPR, l’un des ancêtres de l’UMP.
De même pour l’associé de Takieddine, Ali Bin Mussalam. Son contrat, déposé dans le coffre d’une banque suisse, le liant à la Sofresa pour la vente des frégates à Riad, est déchiré, « en dépit des nombreux coups de fil de pression, d’amis haut placés, pour essayer d’arranger les choses », a raconté Mazens dans un livre. Le solde de la comm que Bin Mussalam n’a pas touché va être réorienté. On parle de proches du Premier ministre Rafic Hariri, grand copain de Chirac… C’est sûrement faux, il ne faut pas voir le mal partout.
Lire ou relire le dossier que Bakchich avait consacré à la DCN et aux ventes d’armes :
La police judiciaire cite le nom de Sarkozy dans une affaire de corruption Dans un rapport de police du 5 mars 2007, remis à deux juges d’instruction, un flic insolent écrit noir sur blanc qu’une société a été créée au Luxembourg en 1994, « avec l’aval du ministre Nicolas Sarkozy » et de « Nicolas Bazire, directeur de cabinet (…) Ventes d’armes : décryptage d’un échec à 750 millions d’euros « Bakchich » clôt aujourd’hui sa saga sur les grandes et petites coulisses des derniers grands contrats d’armement, notamment ceux liés à la Direction des constructions navales. Pour finir, une note confidentielle de l’ambassade de France en Australie (…) Ventes d’armes, DCN, Thalès, caisses noires : les révélations de « Bakchich » (Ière Partie)
Durant deux ans d’enquête préliminaire, les flics ont découvert à la Direction des constructions navales (DCN) les caisses noires des grands marchés d’armement français de ces dernières années. Pour l’instant, la justice qui vient de confier le dossier à (…) Ventes d’armes de la DCN et de Thales (IIè partie), des grands contrats des années 90 aux petits arrangements entre amis « Bakchich » a pu se procurer des documents confidentiels sur le fonctionnement de la Direction des constructions navales (DCN), montrant notamment le rôle clé joué par l’intermédiaire Ziad Takiedine, à l’époque où Edouard Balladur était Premier (…) Jean-Marie Boivin, l’Alfred Sirven de l’armement (IIIè partie) Comme l’a révélé hier « Bakchich », les mises en examen commencent à tomber dans l’affaire de la Direction des constructions navales, notamment le mercredi 25 juin, contre un ancien de la Dst, qui menait de discrètes missions pour nos vaillants vendeurs (…)
Quand Chirac et Balladur se disputaient les caisses noires (IVè partie) Ventes de frégates, sous-marins, torpilleurs et autres bateaux militaires : autant de marchés juteux signés par nos hommes politiques et les industriels, et dont « Bakchich » raconte les coulisses. La bagarre qui a déchiré la droite pour la (…) Quand le gouvernement Jospin faisait des affaires avec les copains du général Pinochet Pour vendre des sous-marins au Chili en 1997, Jacques Chirac et Lionel Jospin ont laissé la Direction des constructions navales faire appel aux services d’un des conseillers les plus proches du général Pinochet. Et ce contrat juteux court encore (…)

http://www.bakchich.info/Pakistan-Chirac-a-bien-bloque-les,08081.html


http://cozop.com/nicolas_beau_xavier_monnier_bakchich/pakistan_chirac_bien_bloque_les_com_des_intermediaires_balladuriens

Çà y'est v'là le syndrôme Bernadotte qui les reprend : les sionards ont-ils essayé d'assassiner Jimmy Carter lorsqu'il se rendait à Gaza ?


Les sionards, toujours là au bon moment au bon endroit : mardi dernier (16 juin 2009); on a eu droit à une étrange et brève dépêche d'agence (voir ci-dessous) qui nous "apprenait" que les autorités coloniales sionardes, décidément toujours au bon endroit au bon moment avant même que les crimes ne soient commis (surtout quand c'est leurs barbouzes qui les commettent), avaient été informées par un de leur poste avancé de tueurs d'enfants, que des combattants du Hamas à Gaza avaient démantelé des explosifs qui se trouvaient sur la route où devait passer quelques heures plus tard le convoi de l'ancien président yankee Jimmy Carter qui ne cesse de condamner les crimes des sionards contre les palestiniens et de témoigner à la face du monde de l'enfer qu'est la vie dans un Gaza en grande partie rasé par les tapis de bombes de la horde de Sion et qui continue malgré tout d'endurer un blocus presque total. Inutile de préciser que le Hamas comme Carter se sont empressés de démentir cette "information".
Des explosifs démantelés le long de la route empruntée par Jimmy Carter à Gaza, selon Israël (Mardi 16 juin, 20h25)Les autorités israéliennes ont annoncé que des membres du Hamas ont démantelé des explosifs à côté de la route empruntée par Jimmy Carter dans la bande de Gaza, où il effectuait mardi un déplacement. Mais l'ancien président américain a récusé cette affirmation.Jimmy Carter s'est rendu à Gaza mardi pour tenter de convaincre les dirigeants du Hamas, qui contrôlent l'étroite bande côtière palestinienne, de modérer leur ligne anti-israélienne.Des responsables de la sécurité israélienne ont précisé que des soldats israéliens dans un poste d'observation ont vu des membres du Hamas en train de démanteler des explosifs.Après l'entrée de Jimmy Carter dans la bande de Gaza, des membres de la sécurité du Hamas auraient retiré trois grands disques noirs et des câbles d'une dune, à côté de la route par laquelle l'ancien président était passé. Un officier sur place a précisé qu'il s'agissait d'explosifs, mais Islam Shahwan, porte-parole de la police de Gaza, a démenti, affirmant que rien n'avait été trouvé. AP Tentative d'assasinat de Carter par les sionards ou menaces de mort contre lui ? : ne voyant pas bien pourquoi les palestiniens en voudraient à Carter et connaissant les psychopathes de Sion et leur pulsions inverseuses, on est alors tenté de se demander si, derrière cette histoire abracadabrantesque, ne se cache pas une tentative d'assassinat de Jimmy Carter par les sionards eux-mêmes (tentative qu'ils tenteraient de camoufler en en accussant préemptivement le Hamas par inversion accusatoire). Mais il est vrai qu'on peut aussi voir là-dessous des menaces de mort en forme d'avertissement faites par les mafiosi sionistes qui auraient déposé ces explosifs. Car, pour le coup, on voit beaucoup plus de raisons de buter Carter chez les sionards que chez les palestiniens !V'là le syndrôme Bernadotte qui les reprend ? : d'ailleurs le fait de buter des personnalités qui défendent peu ou prou les palestiniens ou simplement s'opposent, même très gentiment, au super projet "d'Eretz sionistan" est une vieille tradition des terroristes néo-pieds noirs de Sion qui, en septembre 1948, avaient déjà buté le comte Bernadotte, envoyé de l'ONU.et négociateur sur la question du vol d'une partie de la Palestine au profit des colons ogzidentaux. En plus, depuis le temps la pathologie semble s'être aggravée si on en juge par l'élimination d'Isaac Rabbine et même la légumisation du modéré Ariel Sharon par des colons visiblement passés en mode nihiliste. Mais ce qui change ici c'est que ces menaces émanent directement des "autorités coloniales" (pourtant classées au centre droit) qui ne se cachent donc même plus derrière des "fanatiques". Bref, je serais Jimmy Carter je ferais donc quand même gaffe !


mercredi 17 juin 2009

Infection entre amis

10 jeunes juifs étrangers ayant participé au programme 'Birthright' ont contracté le virus H1N1 de la grippe A durant leur séjour en Israël.Ces adolescents ont dans le même temps infecté 18 soldats de Tsahal qui les accompagnaient durant leur voyage.Il y a 3 heures - Guysen Israel Newshttp://www.juif.org/defense-israel/100987,10-jeunes-juifs-etrangers-ayant-participe-au-programme-birthright.php

mardi 16 juin 2009

Jimmy Carter: "A Gaza, Israël détruit et empêche de reconstruire"



Prix Nobel de la Paix et ancien président américain, Jimmy Carter s'est rendu dans la bande de Gaza et s'est montré très affecté par les conditions imposées par Israël à la population palestinienne. Dans le même temps, deux ONG israéliennes ont montré, documents officiels à l'appui, qu'Israël empêche toute possibilité aux Palestiniens de Gaza de se rendre en Cisjordanie, favorisant au contraire les mouvements inverses.
L'ancien président américain Jimmy Carter a dénoncé le blocus israélien imposé à la bande de Gaza et déploré la dévastation causée par l'offensive israélienne de décembre/janvier contre le territoire palestinien contrôlé par les islamistes du Hamas.
Jimmy Carter, ancien président américain et prix Nobel de la Paix, est arrivé à Gaza ce mardi par le terminal d'Erez en provenance d'Israël, et s'est rendu sur des sites détruits par l'offensive israélienne qui a dévasté la bande de Gaza en décembre et janvier dernier (faisant environ 1400 morts). Il a également visité une école américaine totalement détruite dans un raid aérien israélien.
Les Palestiniens de Gaza sont traités comme des animaux
"Je suis très affecté. Je dois retenir mes larmes en voyant la destruction qui a été infligée sur votre peuple", a-t-il déclaré. "Je suis venu à l'école américaine. Elle éduquait vos enfants, elle était financée par mon pays et je constate qu'elle a été délibérément détruite par des bombes larguées par des F-16 fabriqués dans mon pays. Je me sens en partie responsable pour ce qui s'est passé et tous les Américains et les Israéliens doivent avoir le même sentiment", a-t-il ajouté.

La bande de Gaza a été dévastée par l'offensive israélienne. - EPA
"Ce n'est pas bien de voir cette destruction, mais ce n'est pas bien non plus de voir des roquettes tomber sur Sdérot (dans le sud d'Israël). Toute cette violence doit cesser", a-t-il encore dit.
Jimmy Carter s'est ensuite entretenu à Gaza-ville avec des responsables de l'Unrwa, l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés palestiniens. Il a déploré le blocus imposé par Israël à la bande de Gaza, où la situation humanitaire est décrite comme alarmante par des ONG humanitaires internationales. "Tragiquement, la communauté internationale reste trop souvent indifférente aux cris de détresse, et les citoyens de Palestine sont traités comme des animaux plutôt que des êtres humains", a-t-il dit.

Israël impose un blocus serré à l'entrée de la bande de Gaza, qui empêche ou rend très difficile la reconstruction. - EPA
Affirmant que "1,5 million de personnes (la population de la bande de Gaza) sont privées des besoins élémentaires de la vie", il a assuré que "jamais dans l'Histoire une aussi grande communauté n'a été brutalement dévastée par des bombes et des missiles et ensuite privée des moyens de s'en remettre". "Mon pays et nos amis en Europe doivent faire tout ce qui est nécessaire pour convaincre Israël et l'Egypte d'autoriser l'entrée des produits de première nécessité à Gaza."
Gaza, un trou noir où Israël jette les Palestiniens pour ne plus s'en occuper
Parallèlement à la visite de Jimmy Carter dans la bande de Gaza, deux ONG israéliennes ont mis le doigt, documents officiels à l'appui, sur une politique israélienne délibérée bien connue par la communauté internationale, et qui consiste à empêcher au maximum que des Palestiniens de Gaza se déplacent en Cisjordanie."Cette procédure constitue une escalade de la politique israélienne de séparation entre Gaza et la Cisjordanie", affirme Joël Greenberg du Centre Hamoked, une ONG pour la défense des droits de l'Homme. "Israël empêche les habitants de la bande de Gaza de déménager vers la Cisjordanie, sous des prétextes sécuritaires et politiques", a-t-il dit lors d'une conférence de presse conjointe avec le Centre Gisha pour la liberté de mouvement.
Dans la pratique, "la procédure censée limiter la réinstallation en Cisjordanie en provenance de Gaza aux cas dits humanitaires ôte toute signification au terme humanitaire", ont affirmé les deux ONG dans un communiqué. Elles basent leurs conclusions sur un document gouvernemental israélien, obtenu en réponse à une demande de Hamoked, justifiant les raisons pour lesquelles Israël rejette les demandes de réinstallation d'habitants de la bande de Gaza depuis la prise de pouvoir par le mouvement islamiste Hamas dans ce territoire il y a deux ans.
Selon ces ONG, ces directives répondent à une politique destinée à encourager le relogement de Palestiniens de la Cisjordanie vers la bande de Gaza et non pas l'inverse. "Des familles qui ne peuvent pas vivre ensemble en Cisjordanie sont forcées de déménager à Gaza, même si leurs maisons, leurs proches et leurs amis se trouvent en Cisjordanie", disent ces ONG.
"Pour Israël, la bande de Gaza est comme un trou noir, on y jette des Palestiniens et on ne s'en occupe plus", a déclaré Yadim Elam, un avocat de Gisha, rejoignant ainsi les conclusions de Jimmy Carter.
LeVif.be, avec Belga
Merci Delphine pour le lien

La haine de l’Eglise catholique transpire chez bon nombre d’intellectuels et d’artistes juifs


, ce qui, la plupart du temps, ne les empêche pas d’avoir les mots “paix” et “amour” plein la bouche. Voici le cas de ce Dennis Oppenheim, qui nous propose en guise d’oeuvre d’art, une église renversée, plantée dans le sol par son clocher.

SADDAM HUSSEIN LE HEROS DU PANARABISME.


En 1973, Saddam lance la « Campagne nationale pour l'éradication de l'illettrisme » un plan ambitieux visant à lutter contre l'analphabétisme. L'école devient gratuite, obligatoire et séculière pour les garçons et les filles. En moins de dix-huit mois, le nombre d'enseignants atteint le nombre de soixante-deux mille personnes, par ailleurs le nombre de filles scolarisées est multiplié par trois. L'Unicef reconnaît que l'Irak a pratiquement éradiqué l'illettrisme et aura poussé la scolarisation des Irakiens à un niveau encore inédit au Moyen-Orient. En 1982, l'Unesco remet un trophée à l'Irak pour l'effort d'alphabétisation dont avait fait preuve le gouvernement à l'égard des filles. Près de 95 % des filles étaient scolarisées. En 1977, 70 % des pharmaciens et 46 % des dentistes étaient des femmes. Par ailleurs, une élite intellectuelle et scientifique voit rapidement le jour. L'Unesco explique que : « Le système éducatif en Irak avant 1991 était l’un des plus performants dans la région, avec un taux brut de scolarisation proche de 100 % dans l’enseignement primaire et un niveau élevé d’alphabétisation pour les deux sexes. L'enseignement supérieur était de qualité, particulièrement dans les établissements d’enseignement scientifique et technologique, et le corps enseignant compétent et motivé.» De par sa jeunesse difficile, il souhaitait que tout le pays sache lire et écrire, car pour lui l'éducation gratuite était un pas de plus vers l'égalité. Dans son esprit, l'éducation gratuite concerne aussi bien l'accès à l'école en elle-même, que l'obtention de livres scolaires et la gratuité des moyens de transport. C'est pour cette raison que dans les années 1970 et 1980, le ministère de l'éducation irakien distribue tous les outils nécessaires à une bonne éducation. Les élèves pouvaient se rendre à l'école grâce à des bus qui étaient gratuits, et à la fin de leur année scolaire, tous les élèves recevaient un cadeau, comme des montres pour les collégiens et les lycéens. Statues de bronze de Saddam Hussein de plus de 9m de haut.Les frais d'hospitalisation sont dorénavant pris en charge par l'État et des subventions sont accordées aux fermiers. Le système de santé irakien devient l'un des plus modernes et efficaces de tout le monde arabe ; les services publics ne sont pas en reste, car le recrutement se fait dorénavant sur le mérite. L'Irak dépendant grandement du pétrole, Saddam tenta de diversifier l'économie en menant un plan d'industrialisation. L'Irak devient donc le premier État arabe à avoir utilisé sa rente pétrolière pour procéder à son industrialisation. Il entreprend la construction de routes, de grands axes autoroutiers et des bâtiments ainsi que le développement d'industries. Il lance une révolution énergétique, amenant l'électrification de presque toutes les villes d'Irak (même les villes se situant dans les campagnes ou difficile d'accès). Près de dix mille villages ont été électrifiés en même temps. Par ailleurs, il fait distribuer gratuitement aux Irakiens des réfrigérateurs et des téléviseurs. Avant les années 1970, l'Irak était un pays largement rural ; suite aux différentes réformes, l'urbanisation s'étend. Saddam redistribue les terres aux paysans, qui étaient auparavant dans les mains d'une minorité de personnes. Il lance une réforme agraire devant permettre aux fermiers de maximiser le profit de leur exploitation. L'agriculture est donc mécanisée, et les paysans ne sachant pas utiliser les nouvelles machines sont formés par le gouvernement. Cette réforme avait également comme but de mettre fin au féodalisme. Il lance également une véritable politique culturelle, il réhabilite et entretient les anciens palais datant de l'Empire Abbasside, l'ancienne cité de Babylone, les palais de Nabuchodonosor, la triple enceinte ainsi que la porte d'Ishtar à Babylone. Il fonde plusieurs musées à Bagdad en vue de rassembler et de conserver le patrimoine historique irakien. En 1980, l'Irak était le seul pays arabe en passe d'atteindre l'autosuffisance alimentaire. D'ailleurs sa politique de modernisation ne s'arrêtait pas à l'Irak, car voulant la modernisation du monde arabe, il lance le "Fonds national pour le développement extérieur". Il propose que l'augmentation du prix du brut, soit, en partie, consacrée à aider les États arabes les plus pauvres par l'intermédiaire d'un fonds de répartition. Cette proposition est saluée par les citoyens des pays arabes, mais elle est immédiatement rejetée par les émirs du Golfe.

Le jeune caméraman de Reuters, Fadel Chana a été victime de "fléchettes" de métal de trois centimètres dispersées lors de l'explosion d'un obus d'un merkava israélien à gaza...il était âgé de 23 ans à peine.
allah yrahmak

le malheur des uns fait le bonheur des autres.

3 juif de sdérot entrain d'admirer le carnage de gaza le mois de janvier.

"Sarkozy, Israël et les juifs" : le livre qui fait peur aux diffuseurs !


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Qui naît poule aime à gratter.


Le chat antisémite enfin arrêté

Le chat antisémite enfin arrêté.Les valeureux limiers de la LICRA ont enfin réussi à mettre la main sur l'odieux chat qui avait agressé un étudiant juif en le griffant au moment où il mettait sa kippa.Au moment où on l'a arrêté, l'animal a nié, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous.

Le peuple juif et sa haine envers les religions


Sous l'occupation grecque (2) puis romaine de l'ancien État d'Israël, les juifs comptaient déjà une diaspora nombreuse, très active dans le commerce, et présente dans tout le bassin méditerranéen. Ils développèrent des relations de proximité avec les autorités coloniales et obtinrent des privilèges (3) en échange de services rendus à celles-ci.A l'époque romaine, parmi ces privilèges, figurait l'exemption du culte aux dieux païens et des taxes y afférant.Quand la prédication de Jésus-Christ prétendit ouvrir le monothéisme à tous les hommes, les juifs prirent peur, inquiets de voir leurs privilèges menacés. Un trop grand nombre de gens se réclamant de la judaïté risquaient en effet de provoquer une révision de leur statut par les Romains.L'affaire empira encore avec l'apôtre Paul, quand il dit dans l'Épître aux Corinthiens : " La circoncision n'est rien et l'incirconcision n'est rien, mais l'observation des commandements de Dieu est tout... " (4)Comble de l'inacceptable aux yeux des juifs, des incirconcis, des " impurs ", menaçaient d'entrer dans les synagogues où Paul et les apôtres, nés dans la religion de Moïse, prêchaient déjà. Les juifs de Corinthe se saisirent de Paul et le conduisirent devant le pro-consul romain Gallion. Ils dirent : "Cet homme excite les gens à servir Dieu d'une manière contraire à la loi" (5).Il faut comprendre. Pour les Romains, ne pas adorer les dieux païens relevait de l'athéisme et entraînait la peine de mort. Les juifs échappaient à cette règle mais, eux-mêmes, condamnaient à mort par lapidation ceux qui abandonnaient la religion mosaïque. Pour eux, les juifs devenus chrétiens entraient dans cette catégorie. Cependant, pour les mettre à mort, il fallait l'aval de l'autorité romaine.D'où la démarche des juifs de Corinthe pour obtenir le droit d'exécuter Paul. Mais Gallion les débouta. Ces requêtes furent fréquentes. Beaucoup reçurent l'agrément de la hiérarchie romaine, la première étant celle qui autorisa la mort d'Etienne, en l'an 37, à Jérusalem. Juif passé au christianisme, il fut lapidé. Pas encore converti, Paul faisait partie de ses persécuteurs.Jacques le Majeur a été tué sur ordre du roi des juifs Hérode Agrippa 1er en l'an 44. Jacques le Mineur, premier évêque de Jérusalem, a été jeté du haut des murailles de la ville par les juifs et achevé à coups de pierres." Les Actes des apôtres " apparaissent comme une longue suite de persécutions anti-chrétiennes avec emprisonnements, flagellations et exécutions. Encore cela devait-il perdurer.Selon Justin Martyr (IIème siècle), lors de la rébellion juive de Bar Kokhba, en l'an 135, les chefs du soulèvement ordonnèrent "de punir sévèrement (les chrétiens) s'ils ne reniaient pas Jésus comme Messie..." Des massacres commis par des juifs contre des chrétiens eurent lieu au Yémen au VIème siècle. En 614 aussi, quand une armée juive, alliée à l'empereur perse Chosroès II, s'empara pendant quatre ans de Jérusalem devenue chrétienne.Nous ne saurions faire dépendre les relations entre juifs et chrétiens du souvenir de ces persécutions. Mais elles relativisent la notion de peuple martyr.Jean IsnardNOTESD.E.J. : " Dictionnaire encyclopédique du judaïsme, " collection Bouquins, éditions Cerf/Robert Laffont.(1) D.E.J. La partie signalée d'un astérisque est tirée de " Les Antiquités juives, " écrit par Josèphe Flavius. (2) À partir de la conquête d'Alexandre, les Lagides puis les Séleucides, dynasties grecques, gouvernèrent le territoire d'Israël jusqu'à l'arrivée des Romains au IIème av.J-C.(3) D.E.J. page 1129.(4) " 1er Épître au Corinthiens, " 7/19. (5) " Actes des Apôtres, " 18/13.

Le con de tout les cons.


Bernard Kouchmerde


Les sions veulent pas de Nejad au poste de président.


Les partisans du président iranien Mahmoud Ahmadinejad et ceux de l'opposant Mir Hossein Moussavi, qui conteste toujours la réélection, le 12 juin, à la présidence de la République de M. Ahmadinejad, se faisaient face, mardi 16 juin, dans les rues de Téhéran. Les deux camps ont défilé séparément, alors que Téhéran était quadrillé, selon l'envoyée spéciale de la chaîne iTélé, par les bassidjis, milice religieuse proche de M. Ahmadinejad. Aucun incident majeur, ni victime, n'ont été recensés, contrairement à lundi, où sept personnes avaient été tuées, selon un bilan officiel. Un chiffre qui n'a cependant pu être confirmé par des médias étrangers à qui le gouvernement interdit de couvrir les événements en cours.

Manifestations croisées. Comme ce fut le cas lundi, les partisans de M. Moussavi ont bravé une interdiction des autorités pour manifester, selon Press TV, la télévision d'Etat iranienne. "Ils se sont dirigés vers le nord en direction de la place Vanak", rapporte Press TV, qui parle d'un "défilé" qui "s'est transformé en une grande manifestation". Visiblement moins nombreux que lundi, lorsqu'ils étaient des centaines de milliers, les manifestants n'en ont pas moins bravé l'interdiction lancée par leur leader dans la matinée. M. Moussavi avait appelé à annuler la manifestation pour "éviter le piège des confrontations planifiées", selon un de ses conseillers.De leur côté, les partisans de M. Ahmadinejad, qui participaient à un rassemblement "officiel" sous le nom de "marche d'unification", ont défilé dans le centre-ville de la capitale iranienne. Selon la télévision d'Etat, qui était la seule habilitée à couvrir l'événement, ils étaient plusieurs milliers sur la place Vali-ye Asr à brandir le drapeau iranien. Selon le quotidien britannique The Guardian, près de 20 000 manifestants auraient pris part au cortège.
Le pouvoir iranien divisé. A l'aune des événements qui secouent l'Iran depuis samedi, une cassure est apparue au sein de la classe politique iranienne, habituellement unie. D'un côté les conservateurs, dont M. Ahmadinejad et le guide suprême Ali Khamenei, qui ont défendu le scrutin. De l'autre les réformateurs, qui n'hésitent pas à parler de fraudes massives et à demander un nouveau scrutin. Plusieurs hautes figures politiques et religieuses, dont l'ancien président Khatami ou le grand ayatollah Hossein-Ali Montazeri, ont publiquement dénoncé les résultats. Ali Larijani, président conservateur du Parlement, s'en est pris directement au ministère de l'intérieur pour sa gestion de la crise. La pression sur les mollahs iraniens n'est pas seulement interne, puisque la presse arabe souligne largement les difficultés qui guettent le régime (Lire la revue de presse Ahmadinejad ou pas, "les Iraniens veulent des réformes"). En visite en Russie, Mahmoud Ahmadinejad n'a pas commenté la situation interne de son pays depuis une intervention, dimanche.
Un recomptage partiel des voix "si nécessaire". Sous la pression de la rue et des réformateurs, le guide suprême Ali Khamenei s'est finalement dit favorable à un recomptage partiel des résultats, si cela était nécessaire, rejoignant en cela la position du Conseil des gardiens de la Constitution. Trois candidats, M. Moussavi, mais aussi Mehdi Karoubi et Mohsen Rezaï, ont déposé des plaintes en ce sens. Au cours du week-end, Ali Khamenei avait officiellement accepté les résultats de l'élection, qui créditait M. Moussavi de 34 % des voix malgré une mobilisation qualifiée d'historique censée lui bénéficier. Le Conseil avait stipulé que tout recomptage était conditionné à la découverte d'"irrégularités comme l'achat de voix ou l'utilisation de fausses cartes d'électeur", et écarté l'hypothèse d'une annulation du scrutin. Pour l'instant, aucune preuve de fraude n'a été apportée (Lire le décryptage De légers soupçons de fraude, aucune preuve), même si les partisans de M. Moussavi assurent en avoir en leur possession.La presse étrangère interdite. Depuis les débordements et la répression policière lundi, l'ensemble des visas et des autorisations délivrées aux journalistes étrangers a été annulé. Chacun doit demander la permission avant de quitter ses bureaux, selon la BBC, et la couverture des rassemblements de l'opposition, mais aussi du défilé officiel organisé par le pouvoir, est formellement interdite. Reuters et l'Associated Press confirment que tout reportage, photographie ou vidéo est désormais interdit à Téhéran. Ainsi, et même si les journalistes peuvent encore rester sur place tant que leur visa est valide, plusieurs informations ne dépendent plus que des médias officiels : la taille réelle des cortèges, le bilan des victimes ou l'état de la contestation dans les autres villes iraniennes.

Neturei Karta, les éternels ennemis d’Israël



Depuis le début du XXème siècle, les Juifs orthodoxes n’ont eu de cesse de dénoncer la spoliation de la Palestine. Pour eux, ledit État d’Israël ne doit pas exister, même si les Palestiniens l’accèptent.A. Rajy
“Les Sionistes ne sont pas des Juifs”
“Israël doit disparaître. L’idée même d’un État juif est contraire à la Torah. Le sionisme est antithétique du judaïsme.” Le message n’émane pas de quelque “fanatique” supporter du Hamas palestinien ou du Hezollah libanais. C’est le rabbin Dovid Yisroel Weiss, porte-parole du groupe ultra orthodoxe juif Neturei Karta (“gardiens de la cité” en araméen) qui s’exprime ainsi dans sa déclaration au meeting de solidarité avec Gaza, à New-York, dès le lendemain du déclenchement de l’agression barbare, le dimanche 28 décembre 2008.
Reconnaissables à leurs barbes hirsutes, noirs manteaux, chapeaux ronds et longues nattes, les Neturei Karta sont de toutes les manifestations de protestation contre le génocide entrepris par l’État sioniste d’Israël à l’encontre du peuple palestinien. C’est leur raison d’être. Plus, c’est pour eux une mission divine de dénoncer, pacifiquement, la nature destructrice du projet sioniste. Pour l’humanité tout entière.
Et ce combat ne date pas des derniers massacres à Gaza. Ni même de la proclamation de l’entité sioniste en Palestine, en 1948. Il a commencé dès le début du projet de spoliation de la Palestine, dans les années 1910. Plus précisément en 1938, à Jérusalem, lorsque les Neturei ont fait scission d’avec leur organisation originelle, Aguddat Israël, coupable à leurs yeux de complaisance vis-à-vis des sionistes.
Rejet
Au fil des ans, du fait des brimades, crachats, insultes et des violences policières dont ils étaient l’objet en Palestine, de nombreux membres de Neturei Karta on été forcés de quitter le pays. Mais ceux d’entre eux qui sont restés rejettent toute implication, qu’elle soit politique ou sociale, avec ledit État d’Israël.
Neturei Karta compte aujourd’hui des dizaines de milliers de membres répartis entre les États-Unis, le Canada, l’Angleterre, la Pologne, la Russie et la Palestine.«Si les Palestiniens décident de s’en remettre à la solution des deux États, nous verrions en eux des êtres compatissants de laisser Israël partager leur terre, mais nous ne pouvons jamais reconnaître la partie israélienne…», dit R. Weiss, plus déterminé que jamais. «Nous sommes une épine permanente dans le flanc des sionistes… Ils ont peur de nous…», ajoute-t-il.
Et pour cause, fils d’un juif hongrois rescapé de l’Holocauste nazi, dont les grands-parents sont morts au camp de concentration d’Auschwitz, R. Weiss ne cesse de dénoncer l’exploitation qui est faite par les sionistes de cette tragédie humaine pour consacrer leur emprise sur l’opinion publique mondiale. Par exemple, R. Weiss n’a pas hésité à participer à la conférence sur “l’étude scientifique” de l’Holocauste organisée en Iran, en 2006.
Par contre, ce qui inquiète le plus ce “juste parmi les justes”, c’est le fait que les sionistes, à coup de mensonges et de propagande, ont presque réussi à détruire l’amitié entre cousins juifs et arabes. Pour remédier à la situation, les Neturei multiplient leur présence dans les manifestations de solidarité avec Gaza, en ces jours de grande souffrance pour les Palestiniens. On en a ainsi vu un brûler son passeport israélien devant les caméras d’Al Jazeera, lundi 12 janvier à Londres. Un geste plus éloquent que tous les discours du monde.
Source : http://www.maroc-hebdo.press.ma/eternels.html

PAS : L’analyse très judicieuse du MDI

Véritable O.V.N.I politique, porteuse d’espoirs pour la partie « légaliste » de la mouvance antisioniste et appelant l’électeur (par sa composition hétéroclite) à transcender les traditionnels et désormais désuets clivages politiques gauche/droite, la liste Dieudonné avec ses 1,3% de votes a connu ce dimanche ce qu’il serait convenue d’appeler, une “légère” déconvenue.
Précisons d’emblée qu’il n’est pas dans l’intention du Mouvement des Damnés de l’Impérialisme (M.D.I) de se gargariser de cette « mini-débâcle » électorale, pour la simple et bonne raison que notre mouvement entretient des relations plus que cordiales avec la majorité des membres de cette liste dont au premier chef sa tête de liste, Dieudonné.
Cette mise au point établie, nous aurions pourtant tort de nous dispenser d’une analyse fine et approfondie de ce dernier scrutin. Essayons donc de tirer les enseignements de ces dernières élections.
1- Le processus électoral est bel et bien l’arme de l’impérialiste.
Parce qu’il est celui qui définit les règles et contrôle également les masses via ses relais médiatiques et institutionnels, l’impérialisme a tout intérêt à emmener son adversaire sur le terrain glissant et faussé de la factice expression électorale démocratique.
Les relais de la bien-pensance sont par essence lâches, vils et mystificateurs. Le système démocratique est leur « chose », leur création, il paraît donc en conséquence plus qu’illusoire et totalement vain de chercher à les vaincre sur leur propre terrain et en suivant des règles définies par leurs soins.
Et ce n’est pas la campagne de diffamation publique ou pire encore de harcèlement physique, mise en place par la partie adverse au mépris des règles les plus élémentaires de l’éthique politique qui infirmera notre argumentaire…
2- Plus important que l’unité contre le sionisme, la finalité de la lutte
Mais quel est donc l’objectif de la lutte? Une simple correction à la marge des imperfections de la République ? La défense du plein exercice de la liberté d’expression pour l’ensemble des citoyens ?
A vouloir lutter contre un système au nom d’une idéologie directement issue de cette même matrice, n’y a t-il pas comme une énorme contradiction ? Autrement dit, le républicanisme parlementaire, produit politique des loges francs-maçonnes mérite-t-il de notre part le moindre engagement ou esprit de sacrifice ?
Finalement, quelle différence entre le discours d’assimilation républicaine émanant des agents de l’Etat et les interventions de certains membres de la Liste Antisioniste pourfendant les solidarités communautaires au nom du creuset républicain ?
En agissant de la sorte n’a-t-on pas ainsi entretenu le flou, vidé une partie de la moelle subversive de cette liste, créant ainsi les conditions favorables au développement d’une abstention de la frange la plus en rupture avec le discours républicain ? Quoiqu’il en soit le questionnement demeure.
3- Déplacer l’insurrection des urnes aux rues
Une seule lutte doit nous mobiliser, celle qui vise ni plus ni moins à la destruction pure et simple de cette matrice faussement représentative des intérêts du peuple.
La liste antisioniste visait juste, en ce sens qu’elle redéfinissait de la façon la plus pertinente la ligne de fracture du champ politique entre sioniste et antisioniste.
Une fois cette nouvelle ligne de démarcation validée et intégrée, il s’agit pour tous les mouvements se réclamant de l’idéal antisioniste de faire œuvre de pragmatisme en évitant au maximum les inutiles dispersions.
Car ne nous y trompons pas, si l’on peut considérer la domination du lobby comme résultant principalement de l’ignorance des masses, cette domination découle également de la résignation et du fatalisme de « ceux qui savent ».
Tout l’enjeu réside donc dans notre capacité à mobiliser l’ensemble des forces authentiquement insurrectionnelles de ce pays. Les dernières émeutes de 2005 et la peur bleue qu’elles ont pu inspirer aux décideurs politiques de ce pays, nous indiquent très clairement la voie à suivre et l’endroit du territoire sur lequel nous devons concentrer politiquement tous nos efforts…
Et comme l’on attire pas les mouches avec du vinaigre, il va s’en dire que la dialectique républicaine et tout ce qu’elle peut évoquer de principes ronflants, chimériques et plein d’hypocrisie, ne peut décemment pas mobiliser les foules pragmatiques des quartiers.
Bien au contraire, c’est en axant plus que jamais notre discours sur la nécessite du retour à nos cultures d’origines, préalable indispensable à tout engagement valable contre l’impérialisme, que nous arriverons à concerner et réveiller les masses des quartiers.
Réaffirmer plus que jamais dans les quartiers les valeurs du panafricanisme, du panarabisme et des autres cultures authentiquement originelles, demeurent la seule voie à même de sensibiliser les esprits et de mobiliser les énergies.
C’est là la voie tracée par le MDI.
C’est en suivant cet angle d’attaque que le changement s’opèrera, pourvu que toutes les composantes ethniques concentrent leurs énergies, non pas dans la stérile défense d’une mortifère idéologie républicaine, mais bel et bien dans la lutte groupée contre l’ennemi commun.
Des urnes à la rue, sachons ainsi déplacer le combat en adoptant des approches complémentaires. La liste Dieudonné a sonné le tocsin, accélérons la cadence et l’intensité des coups pour que la rue porte cette fois-ci l’estocade finale.
Héry Djéhuty Séchat, Conseiller Politique de Kémi Séba.
SOURCE : http://www.mdi2008.com/liste-antisioniste-enterrons-definitivement-la-liberation-par-les-urnes

Lettre du mouvement Hamas à Obama


A son Excellence le Président Barack ObamaPrésident des Etats-Unis d’Amérique
3 juin 2009
Cher Monsieur le Président,
Nous nous réjouissons de votre visite dans le monde arabe et l’initiative prise par votre administration pour combler les différents avec le monde arabo-musulman.
Une des plus anciennes sources de tension entre les États-Unis et cette partie du monde a été l’incapacité à résoudre le conflit israélo-palestinien.
Il est donc regrettable que vous ne puissiez pas visiter la bande de Gaza au cours de votre voyage au Moyen-Orient, et que ni vous, ni le secrétaire d’État George Mitchell ne soient venus pour entendre notre point de vue.
Nous avons reçu récemment de nombreuses visites de personnes de milieux très variés : des représentants du Congrès américain, des parlementaires européens, la commission Goldstone appointée par les Nations Unies, et des délégations sur le terrain telles que celles organisées par le groupe pacifiste américain Codepink.
Il est essentiel pour vous de visiter la bande de Gaza.
Nous avons récemment subi une brutale attaque israélienne de 22 jours. Amnesty International a fait observer que tous les morts ainsi que les destructions subis par Gaza au cours de l’invasion ne se seraient pas produits sans les armes fournies par les Etats-Unis et l’argent de ses contribuables.
Human Rights Watch a établi que le phosphore blanc qu’Israël a répandu sur une école, un hôpital, un entrepôt des Nations Unies, et des quartiers civils dans la bande de Gaza a été fabriqué aux États-Unis. Human Rights Watch en a conclu que l’utilisation par Israël de ce phosphore blanc était un crime de guerre.
Ne devriez-vous pas venir voir par vous-même comment Israël a utilisé vos armes et à quoi il a dépensé votre argent ?
Avant de devenir président vous avez été un éminent professeur de droit. Le gouvernement américain a également dit qu’il voulait favoriser la primauté du droit dans le monde arabo-musulman.
La Cour internationale de Justice a statué en Juillet 2004 que l’ensemble de la Cisjordanie, Gaza et Jérusalem-Est étaient des territoires palestiniens occupés et destinés à l’autodétermination palestinienne, et que les colonies de peuplement juives dans les territoires palestiniens occupés étaient illégales.
Pas un seul des 15 juges de la plus haute instance judiciaire dans le monde n’a divergé de ces principes.
Les principales organisations de défense des droits de l’homme dans le monde, Amnesty International et Human Rights Watch, ont publié des documents prenant position en faveur du droit des réfugiés palestiniens au retour et à l’indemnisation.
Chaque année, l’ Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies, presque tous les pays du monde souteniennent ces principes afin de résoudre le conflit israélo-palestinien. Chaque année, la Ligue arabe renouvelle une proposition de paix sur la base de ces principes pour résoudre le conflit israélo-palestinien.
Les principales organisations de défense des droits de l’homme comme Human Rights Watch ont également déclaré que le siège israélien contre Gaza est une forme de punition collective et est donc illégal en vertu du droit international.
Nous, le gouvernement du Hamas, sommes engagés à rechercher une solution juste au conflit et qui ne soit pas en contradiction avec la communauté internationale et l’opinion éclairée exprimée par la Cour internationale de Justice, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies et les organisations des droits de l’homme. Nous sommes prêts à engager toutes les parties sur la base du respect mutuel et sans conditions préalables.
Toutefois, notre engagement a besoin d’assister à un changement de paradigme qui ne commence pas seulement avec la levée du siège sur la bande de Gaza et la fin de toute construction et expansion de colonies, mais qui développe une politique d’équité basée sur la loi et les normes internationales vis à vis desquelles nous sommes engagés.
Encore une fois, nous vous souhaitons la bienvenue à Gaza, ce qui vous permettrait de constater par vous-même notre retour au point zéro [« ground zero »]. En outre, cela renforcerait la position des États-Unis et vous permettrait de vous exprimer avec une nouvelle crédibilité et une nouvelle autorité face à toutes les parties.
Très sincèrement votre, Dr. Ahmed YousefAdjoint au Ministère des Affaires étrangères Ancien conseiller politique auprès du Premier ministre Ismaël Hanniya
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6749

Comment ose-t-on employer le terme "antisémite" concernant les "juifs"

Oui, comment peut on admettre que cette expression "antisémite" puisse être utilisée à tour de bras dès que quelqu'un ose critiquer les exactions d'israel ?Pourquoi ce terme est sans valeur ?Parce que les juifs n'ont jamais été les descendant de Sem, qui lui même n'a jamais existé que comme un mythe.Le judaïsme s'est propagé vers l'Europe, pas "les juifs", et de très nombreuses conversions ont eu lieu ; est ce qu'une conversion donne un "sang juif" ?On n'est juif réellement que par la mère, encore aujourd'hui en israel c'est la seule règle reconnue officiellement.Mais qui sont ces juifs se prétendant "le peuple élu de Dieu", celui à qui il a donné la terre d'israel ?Qui sont ces gens qui prétendent retourner sur la terre de leurs ancêtres, alors qu'aucun n'y a jamais vu le jour ?Ce sont des descendants d'européens du centre et de l'est, dont les aïeules ont été violées à chaque invasion des barbares ... peut-on encore parler de "pureté du sang" ?Voyons un peu ce qui tourne autour de la pureté du sang :- "Aucun homme ne devrait traiter avec indifférence le principe de la race. C'est la clef de l'Histoire, et si l'Histoire est si souvent confuse c'est parce qu'ellle est écrite par des gens qui ignorent ce principe et toute la connaissance que cela implique... Le langage et la religion ne font pas une race - Il n'y a qu'une seule chose qui fait la race, et c'est le sang." Benjamin Disraeli, Endymion p.249-250 - "Je le proclame ici devant l'avenir : de même que la connaissance de la rotation de la terre autour du soleil a valu une révolution dans notre conception de l'Univers, de même la doctrine du sang et de la race soutenue par le mouvement national-socialiste provoquera une transvaluation de notre conception de l'Histoire du passé de l'humanité ainsi que des anticipations de son avenir." Adolf Hitler, Discours du 30 janvier 1937- "Garde ton sang pur, Il n'est pas seulement le tien. Il te vient de milliers d'ancêtres Et tout le futur en dépend." Will Wesper- "Et Dieu proclama comme premier principe aux dirigeants, et par dessus tout le reste, qu'il n'y a rien qu'ils ne doivent garder aussi anxieusement, ou de quoi ils doivent être les gardiens les plus vaillants, que la pureté de la race. Ils doivent prendre garde aux éléments qui s'immiscent dans leur descendance." -- Platon, Politeia- "Sur le plan ethnique, il convient de limiter l'afflux des Méditerranéens et des Orientaux, qui ont depuis un demi-siècle profondément modifié les compositions de la population française. Sans aller jusqu'à utiliser, comme aux Etats-Unis, le système rigide des quotas, il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Luxembourgeois, Suisses, Hollandais, Danois, Anglais, Allemands, etc.)." Charles de Gaulle, Directive au Garde des Sceaux (12 Juin 1945)- "Si nos immeubles, nos routes, nos chemins de fer étaient détruits, nous pourrions les reconstruire. Si nos villes étaient détruites, nous pourrions en ériger de plus grandes et de plus belles sur leurs ruines. Même si notre armée était vaincue et détruite, nous pourrions élever des fils qui pourraient restaurer notre pouvoir. Mais si le sang de notre race blanche devait être corrompu et se mélanger avec le sang de l'Afrique, alors la grandeur présente des Etats-Unis d'Amérique serait détruite et tout espoir pour le futur perdu à jamais." -- Sénateur U.S. Theodore G. Bilbo (1947)Qu'en est-il de la "race juive" ?Peut-on faire acte de racisme envers un "juif", dans la mesure où une appartenace à une religion n'est pas faire partie d'un groupe ethnique particulier ?Où en est la pureté du sang "juif" ?

Elle n'a jamais existé, pour preuve, Hitler a incorporé 150.000 juifs dans son armée, les reconnaissant comme "aryens" et prenant même l'un d'eux comme modèle de l'allemand idéal : "Werner Goldberg, who was blond and blue-eyed, was used by a Nazi propaganda newspaper for its title page. Its caption: "The Ideal German Soldier."Et les sionistes dans tout ça ? Ils sont issus d'Europe Centrale et de l'Est en grande majorité, sont athées et comme l'a si bien dit Gilad Atzmon "ils ne croient plus en Dieu, mais ils croient au JUIF et ils ont inventé la religion holocaustique". Ils ont collaboré étroitement avec les nazis avant la guerre, Hitler faisant bien la distinction entre les "sionistes" ayant la même idéologie du sang et de la pureté de la race, que lui, et les "juifs" souilleurs de race. Ils les a autorisé à créer des camps d'entrainement pour la jeunesse, autorisé à défiler dans les rues en grand uniforme (quasi identique à celui des allemands), il les a financé pour créer le noyeau d'immigration en Palestine, les équipant de machines agricoles ultra-modernes, autorisant les transferts de fortunes de certain qui se faisaient reconstruire leur propriété "à l'identique", passant des accords commerciaux pour écouler les productions récoltées en Palestine, etc. Et surtout, en déportant les "souilleurs de race" pour créer un mouvement de panique dans la population juive européenne afin de les inciter à immigrer en Palestine. Le sionisme a été complice de l'holocause, c'est pour cette raison qu'ils s'en servent comme bouclier, interdisant à quiconque de rechercher les faits historiques pour ne pas mettre au grand jour leur participation.Alors, les "juifs" sont-ils des sémites ou des aryens ?Les ashkénazes sont tous des aryens et leur culture vient de l'Europe centrale, bâtie sur l'emploi du yddish, dont voici la définition donnée sur wikipedia :
Le yiddish (ייִדיש (API: [ˈjɪdɪʃ] ou [ˈjiːdɪʃ]) en yiddish; également orthographié en français yidish, jiddisch, jidisch ainsi que, selon les rectifications orthographiques du français, yidich ou yidiche) est une langue germanique dérivé du haut-allemand, avec un apport de vocabulaire hébreu et slave, qui a servi de langue vernaculaire aux communautés juives d'Europe centrale et orientale (“ashkénazes”) du Moyen Âge. Il est également parfois appelé judéo-allemand (yidishdaytsh (yi)ייִדישדײַטש)
Le yiddish a été parlé par les deux tiers des Juifs du monde, soit onze millions de personnes à la veille de la Seconde Guerre Mondiale. Depuis le génocide des Juifs par les nazis, au cours duquel la majorité de la population juive d'Europe a été exterminée, elle est en voie de disparition. [n'exagérons pas, disons la moitié. ndlr]Les linguistes divisent l'histoire du yiddish en quatre grandes périodes : le pré-yiddish, jusqu'en 1250 ; le yiddish ancien, de 1250 à 1500 ; le moyen yiddish, de 1500 à 1750 et, enfin, le yiddish moderne, de 1750 à nos jours.On se rend très bien compte que les ashkénazes ne sont pas originaires de Palestine !Et les séfarades dans tout ça ?Si Sem avait été autre chose qu'un mythe, ils auraient pu être sémites ... Issus de la conversion de berbères au judaïsme, aucun de leurs ancêtres tout comme ceux des ashkénazes, n'a jamais vu le jour en Palestine. Considérés par les premiers comme des sous-merdes, en israel ils sont devenus les juifs les plus extrémistes qui soient "plus à droite que moi, tu meures". Ce sont ceux qui se sont alliés à Lieberman et qui s'occupent des questions religieuses au sein de l'armée, permettant aux soldats de se livrer à toutes les cruautés en les justifiant par des textes bibliques qui ne font état que de massacres "sans un regard de pitié". C'est l'un des leurs qui est à l'origine de l'incarcération de Salah Hamouri ...Conclusion Critiquer les "juifs" et israel n'est pas faire acte d'antisémitisme, car ils sont de "race aryenne" et "de type caucasien" ! Hitler ne s'y était pas trompé, lui, en les prenant pour modèle.

LIEN= http://onnousprendspourdescons.blogspot.com/2009/06/comment-ose-t-on-employer-le-terme.html